Premières expériences et engrenages : Chapitre 42 : Alea jacta est

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il y a 1 an

Chapitre 42 : Alea jacta est

Plus d’une dizaine d’endroits, de zones, de poste de travail, oserai-je dire, occupait pleinement un espace qui recouvrait l’ensemble salon et salle à du rez-de-chaussée. Quatre-vingts mètres carrés, plus grand que mon appartement, beaucoup plus grand ! Je reconnus vers le centre de la pièce le système à poulie de suspension avec de chaque côté le chevalet et la chaise gynécologique qui nous attendaient.

Il y avait aussi un lit sans matelas avec un sommier grillagé qui n’inspirait aucun repos, une cage de taille humaine, une vierge de fer ouverte, dont les pointes avaient été remplacées par des sortes d’électrodes reliées à une batterie de bonne taille et une console, une croix très célèbre dans ces séances. Je me rappelais qu’elle avait le nom d’un saint. A croire que seule la religion pouvait pousser la torture vers un plan astral.

J’essayai de comprendre l’utilisation de toutes ces machines, mais mon imagination perverse, à cet âge, était encore limitée. Dire que je ne m’attendais qu’au pire, plagiant ma BD préférée ! Un pieu, se voulant gode, sans en avoir les formes décontractées, fixé près du centre de la pièce semblait pouvoir se mouvoir, au moyen d’un moteur rotatif, dans un va-et vient vertical. Mes fesses, inquiètes, se resserrèrent sur les boules de Geisha qui me semblèrent soudainement chétives.

  • Avec le temps, en restant avec nous, tu auras l’occasion de tous les tester…et plusieurs fois, me chuchota Maîtresse Diane.

Nathan s’exerçait à l’écriture des papiers pour le tirage au sort. Je dus donner mon prénom. Soumis, taille de gode, position et finalement les lubrifiants se formèrent dans quatre coupoles de trois papiers. Ladyscar avait finalement convaincu de laisser un lubrifiant soft pour laisser espérer à chaque soumis une fin heureuse. Ce sera finalement crachat, huile pimentée et la pâte qui excitait tant Lady Christine et que Ben apportait finalement d’une des étagères.

Je regardai sur les murs les rangées de jouets, rendant la salle plus proche d’un magasin que d’un donjon. Si le colis de ma maîtresse lui avait couté un mois de salaire, cette pièce devait lui en coûter pour cinq ou dix ans. Je comprenais un peu mieux l’intérêt de cette association.

Le premier tirage au sort concernait celui des soumis. Les deux autres maîtresses, espérant que mon nom ne tomberait pas, demandèrent à Ladyscar de tirer la première. Le nom de Ben apparut, une fois le papier ouvert ! Où était passée ma chance ? Se réservait-elle pour la taille ? Alors que Lady Christine tira mon nom au grand désespoir de Maîtresse Diane, ma maîtresse voulut adoucir la règle.

  • Je voudrais que la pâte et la plus grande taille de gode ne puisse s’associer.

  • Accordé, lança Maîtresse Diane, qui craignait plausiblement que nous ne repartions et qui savait maintenant qu’elle ne pourrait plus jouer avec moi.

De ses un mètre quarante, Lady Christine me lança un regard qui en disait long sur l’envie de me déguster. Vu comment elle était arrivée à traiter Nathan, je craignais finalement que le sort ne me fasse pas tomber sur la maîtresse à la tache de vin. J’étais convaincu que j’aurai moins souffert.

Le second tirage concernait la position. Maîtresse Diane voulait garder les deux pires pour la fin. J’eus le droit au chevalet. Nathan à la suspension et Ben à la chaise. Je serai à l’opposé de Ladyscar et surtout je devenais le seul, au vu de la position, à ne pas croiser le regard des autres.

Aucune des trois maîtresses n’apprécia le tirage, la mienne car elle voulait me voir dans les yeux pour arrêter le jeu si cela me devenait trop pénible, et les deux autres pour me voir craquer. Et je ne parlai pas ici que de mon orifice anal.

Comme j’appris par la suite et, de connivence avant aujourd’hui, leur but avait été de me détruire, de me pulvériser façon puzzle, pour reprendre à nouveau des éléments de ma culture, cette fois cinématographique. Moi ou Ladyscar. Elles réussiraient si ma maîtresse abandonnait maintenant et renonçait à ce club. Elles étaient jalouses, envieuses du puceau de dix-huit ans que Ladyscar s’était trouvé. Elles avaient organisé ce weekend pour se moquer de ma maîtresse, lui démontrer que je n’étais pas à la hauteur.

C’était maintenant au tour du tirage des godemichets, des strap-on. Ben tira à nouveau le premier. Il tomba sur celui de taille moyenne, la pièce intermédiaire. Plus gros que le plug que l’on m’avait offert, il devait mesurer plus de vingt-cinq centimètres de long et bien sept de large. Il ne restait que le petit et le gros. Le petit semblait n’être qu’une maquette de l’autre, un jouet pour enfant.

Alors que Ladyscar commençait à fixer le sien, Maîtresse Diane me tendit le plateau où ne restait que les deux papiers, pliés en huit qui décideraient du sort de mon anus.

Je tendis la main, assuré de prendre celui de droite, lorsque je croisai le regard de Nathan me faisant signe de la tête de prendre l’autre. Que voulait-il ? Pouvais-je lui faire confiance ?

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